ce qui reste du ciel tombé à la surface de l’eau

 

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Comme un paysage tombé du ciel. En attente entre deux surfaces. Des plaques, des couleurs. Celle-ci ou bien celle-là.
Plaques et paysages. Ni au mur, ni au sol, un espace en devenir, un temps en devenir en attente de possibles. Un ensemble de plaques apposées, comme posées-là, en forme de ligne. Une limite se dessine, comme à l’orée des bois. Un entre deux.
L’ordre des surfaces et l’ordre des choses sont bouleversés et inversés. La ligne est suspendue, interrompue. La surface du paysage est fragmenté, constitué de surfaces et de faces. Certaines visibles, d’autres non. Des bleus et des verts. Les teintes et les nuances sont incertaines entre celles-ci et celles-là. 
La disposition des plaques semble organisée, se chevauchant et se recouvrant, des respirations. Posées au sol, de biais, et apposées au mur, elles sont comme des œuvres attendant d’être disposées en cours de montage ou de démontage d’exposition. Des possibles. La forme évolue selon des temps, pas de rythmes définis. Trois propositions. 
Des fragments de phrases dissimulés affleurent à la surface de certaines. Des plaques en matériaux autres. Trois tôles. Laiton, inox et cuivre. Surfaces sur lesquelles la lumière évoluera, se reflétera et se réfléchira. Deux plaques en marbre blanc sur lesquelles sont gravées en lettres d’or le titre de l’exposition scindé en deux sont disposées face aux fenêtres.

Ensemble de 73 plaques.
2 plaques de marbre blanc de Carrare gravées à l’or fin 20 carats, épaisseur 20 mm, 44 x 77 cm, 44 x 44 cm.
3 tôles épaisseur 1 mm, laiton 40 x 60 cm, inox 35 x 70 cm, cuivre 30 x 90 cm.
3 plaques gravée en médium épaisseur 16 mm, peinture acrylique, « entre deux nuages » 60 x 60 cm, « au-delà de la limite des arbres » 70 x 40 cm, « sommeille en un aimable désordre» 60 x 28 cm.
65 plaques en médium épaisseur 12 mm, peinture acrylique, dimensions et couleurs variables.

Installation produite par la galerie HORS[ ]CADRE / Auxerre / 2021